Silence  –
le cri des cigales
taraude les roches

(Bashô)
Calligraphie
le bruit incessant des vagues
mon village natal
si loin

(Santoka)*

*Pour Santoka le plus grand des bonheurs c’est « une chambre, une lampe, une table, un bain et une coupe de saké ». Le soir il consigne dans son journal ses pensées et ses haikus qui reflètent ses impressions, ses sensations du jour. « Pure expérience », telle est sa conception de la poésie.
(source : http://www.moundarren.com/poetesjaponais/santoka)