Passée la fureur, le besoin d’apaisement se fait sentir. Retrouver le plaisir d’aller vers l’autre, malgré -ou grâce à- ce que la violence a engendré de doutes et de méfiance de l’altérité.
Passée la torpeur, l’envie de passer à l’action s’immisce dans l’indicible hiver.
Et si, une fois les braises moins vives et les cendres presque froides, il était possible de réchauffer nos mains glacées par l’effroi en prenant celles que des pensées et des actions humanistes tendent chaque jour, près de nous ? Il en existe tant.
Et si nos coeurs et nos âmes se laissaient bercer un instant par la douce mélopée de la fraternité et entraîner dans les rythmes trépidants de la danse solidaire ? Des mélodies entraînantes se diffusent un peu partout, il suffit de tendre l’oreille.
Parfois, l’embrasement réveille les esprits et anime l’engagement citoyen. Parfois, on voudrait renaître dans une bonne direction, transmettre les choses les plus belles et les plus heureuses de la vie, donner notre chaleur, notre lumière et (re)trouvez la paix intérieure.
Et vous, quelle action, aussi infime soit-elle, aimeriez-vous mener pour combattre l’obscurité et raviver des braises ?
22 décembre 2015 at 9:21 AM
J’aimerais juste aider à ce que la bienveillance devienne naturelle et normale dans toute relation, mais pour cela, il y a du travail 😉
22 décembre 2015 at 10:50 AM
c’est un beau voeu, à notre portée…